Témoignage de Robin Fournel, étudiant en CPGE TSI de 2018 à 2021
En 2nd, on me disait souvent qu'il valait mieux obtenir un bon BAC technologique, plutôt qu'un BAC scientifique moyen. Pas très scolaire à ce moment là, je me lance en STI2D pour finalement frôler la mention Très bien.
On m'a beaucoup parlé de la prépa TSI d'Alès. D'une part pour sa qualité d'enseignement et aussi pour sa proximité depuis la Provence. Une fois rentré dans cette filière, je me rendais compte que malgré le panel de personnalités, un esprit de groupe s'installait peu à peu. Chacun possédait des facilités et des difficultés dans les matières scolaires. L'esprit de groupe faisait que les connaissances des uns profitaient aux autres. Finalement, chacun prend une voie différente en sortie de prépa, mais c'est ensemble que nous avions traversé cette période.
J'ai souhaité redoubler la dernière année afin d'avoir plus de choix dans les écoles d'ingénieur, amené à majorer cette année de redoublement, pour m'orienter plutôt dans une école spécialisée que généraliste, dans le domaine de la photonique à l'Institut d'Optique. La première année, en filière initiale s'apparentait à un roman, où la théorie semblait ne pas avoir d'application dans l'industrie. J'ai donc poursuivi les 2 années suivantes en alternance chez Thales SESO à Aix en Provence. Mon rôle consistait à configurer des mesures de pièces optiques et de développer des supports de productions.
Suite à l’alternance, j'ai signé sans délai un CDI conservant cette coloration technique. Mon travail consiste maintenant à piloter des essais LASER, chez Qiova, dans la LOIRE.